En général, on s’accorde à dire que le physique n’importe que peu dans l’apparence d’une personne. Le cœur et la force mentale sont toujours les plus importants dit-on. Mais ici, nous sommes dans une famille bourgeoise et, comme la plupart des familles bourgeoises, leur objectif étant de s’attirer tous les honneurs de la cour et de devenir noble. Pour cela, il faut, à priori, soigner son image physique. C’est dans doute pour ce genre de raison que l’on peut trouver chez lui des airs de filles manquée, en particulier de par sa peau pâle, douce et soignée tout comme ses cils et sourcils soigneusement coiffés. En parlant de coiffure, ses cheveux bruns clairs mi long dont une mèche cache ses yeux, eux même d’un bleu clair tirant sur le vert, lorsqu'on le regarde de profil, font ressortir une légère touche sauvage de cette apparence soignée.
Malgré tout cela, il reste un homme, un vrai. Entraîné pour devenir chevalier dès son plus jeune âge, il a acquis une musculature conséquente sans pour autant avoir l’air d’un « monsieur muscle ». Grand d’environ un mètre quatre-vingt-dix, il est logique que ses muscles restent discrets. Quand on regarde de plus prêt ses habits, il n’est pas difficile de deviner sa couleur préférée, en particulier lorsque l’on regarde son manteau long en cuir rouge surmonté d’épaulières métalliques. Dans son dos, son arme et également son bien le plus précieux : une épée à lame aux reflets rouges, forgée exprès pour supporter les flammes de sa magie. Son pantalon, lui aussi était fait de cuir. Pourquoi le cuir me demanderez-vous ? Tout simplement parce qu’il s’agit de la seule matière réunissent légèreté, résistance aux coups et, surtout, aux flammes.

TEXTE TEXTE TEXTE TEXTETEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTETEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE

TEXTE TEXTE TEXTE TEXTETEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTETEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE TEXTE